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Notre-Dame du Fer
Articles récents

Le Synode pour une Eglise synodale

23 Octobre 2024 , Rédigé par Espace Liturgique

La synodalité, c’est d’abord une conversion personnelle

Bien des catholiques demeurent sceptiques sur le synode sur la synodalité, dont nous peinons à comprendre l’objectif et la démarche. Le père Ludovic Danto, qui a dirigé "l’ABC de la synodalité" montre comment le synode s’inscrit pleinement dans la Tradition de l’Église pour faire émerger la vérité de Dieu. Si le synode vise au renouvellement missionnaire de l’Église et de sa gouvernance, c’est à la mesure de notre conversion personnelle.

Le Synode pour une Église synodale est entré dans sa seconde session. Entre enthousiasme et indifférence, beaucoup de croyants restent circonspects sur l’issue et les enjeux de cette démarche, et pourtant ce moment doit être reçu comme la pierre angulaire du pontificat du pape François et, qui sait, comme une manière de vivre renouvelée, rejoignant les attentes de l’homme et de la femme d’aujourd’hui.

Permettre à chacun d’être un disciple missionnaire

Dans une Église toujours plus marquée par sa dimension universelle entraînant des aspirations contradictoires selon les lieux, et dont une partie est secouée par une crise des abus qui semblent ne plus finir et ne pas devoir s’arrêter aux Églises déjà touchées — croire le contraire serait un leurre —, la discussion synodale est appelée à renouveler l’être ecclésial, depuis l’annonce de l’Évangile jusqu’à la gouvernance de la communauté des croyants. Dit autrement, la synodalité doit permettre à chacun selon sa vocation d’être, selon l’expression proposée par le Saint-Père, un disciple-missionnaire. 

Synode sur le synodalité groupe de travail 351 membres

Pas de synodalité sans conversion personnelle alors que chaque baptisé a été marqué de l’Esprit saint… C’est à la mesure de notre conversion personnelle que s’opèrera le renouvellement de l’Église : en ce sens la démarche synodale n’est pas étrangère à l’ouverture de l’Année sainte 2025 qui s’annonce prochainement mais elle s’inscrit en elle : " Pèlerins de l'espérance sur le chemin de la paix"

Le concept de synodalité quant à l’organisation de nos communautés n’est pas nouveau : depuis les conciles du premier millénaire jusqu’aux conseils de nos diocèses et paroisses, nous faisons l’expérience d’une forme de synodalité, mais combien ont la conviction que ces instruments de gouvernance sont bien plus qu’une simple organisation ou encore qu’ils ne sont pas là seulement pour entériner les décisions de l’autorité ecclésiastique, qu’il s’agisse de l’évêque ou du curé ? 

Combien de temps de prière ouvrant ces lieux d’échange sont vécus de manière automatique ou bien encore, combien de ces lieux sont vécus comme une prise de pouvoir par ceux qui y siègent espérant ainsi faire avancer leurs propres idées, les uns et les autres confondant leurs aspirations avec les aspirations de toute la communauté, en définitive avec la volonté de Dieu ? 

La réflexion synodale nous appelle à nous tenir à égale distance tant d’une vision monarchique de la vie ecclésiale que d’une vision démocratique de la communauté. Elle nous appelle en définitive comme le concile Vatican II à un profond aggiornamento personnel et collectif.

Une réponse à la constitution sacramentelle de l’Église

Pour éviter ces écueils, la réflexion en cours ne peut que s’enraciner dans les sacrements de l’initiation chrétienne — puisqu’il s’agit pour chacun de se convertir — et dans le sacrement de l’ordre — puisque la communion ecclésiale est structurée aussi par le discernement propre des pasteurs, discernement nécessaire mais non exclusif. Si le pontife romain est infaillible, c’est parce que l’Église est infaillible, non l’inverse. 

Rencontre EAP à Fontoy en 2008

En ce sens, la synodalité n’est pas d’abord une manière sociale de se comporter ou de vivre mais bien une réponse à la constitution sacramentelle de l’Église : parce que nous sommes tous disciples-missionnaires, nous sommes tous prophètes et nous pouvons participer à l’annonce de l’Évangile, que cette annonce se vivent au sein de la communauté comme en dehors d’elle ; parce que certains ont reçu la charge de pasteurs, ils sont appelés à sentir la bonne odeur des brebis mais non pas à vivre au-dessus d’elles mais à marcher avec… 

C’est la raison pour laquelle le pape François a pu résumer la colonne vertébrale de cette mission commune — l’Annonce de l’Evangile — ainsi : notre vie synodale fait se rencontrer le Un – l’évêque de Rome – le Quelques-uns – les pasteurs – et le Tous – l’ensemble des baptisés. Que chacun écoute Dieu et ses frères, quelle que soit la vocation qui lui est propre ; que tous ensemble nous écoutions Dieu et nos frères… car "l’Esprit parle aux Églises", et comment seuls pourrions-nous prétendre détenir la vérité ? Il nous faut marcher ensemble.

Faire émerger la vérité de Dieu

Messe de confirmation le 6 octobre 2024 Eglise de Hayange

Ainsi si le synode est appelé à discuter l’exposé de points de foi comme de points d’organisation ecclésiale, de vie interne comme d’annonce de l’Évangile, il n’est pas appelé à transformer le dogme et la vie ecclésiale selon les aspirations de chacun, aspirations plus ou moins situées selon nos cultures, mais bien à faire émerger la vérité de Dieu à l’œuvre en ce monde et dans son Église, et à réaliser que la force des habitudes et des certitudes ou encore d’un enseignement si elle peut être le signe d’un développement harmonieux de l’Écriture et de la Tradition — autrement dit de la Révélation — peut tout autant être le signe d’une sclérose de la pensée ou de nos activités charitables… Ce qui s’est toujours dit et fait n’est pas automatiquement révélateur de vérité ou d’une vérité absolue mais simplement peut être un point d’étape de l’histoire ecclésiale pour aller plus loin, et espérons-le ne pas être une impasse.

Chaque croyant, chaque Église est appelé à s’emparer de la synodalité comme une occasion de se convertir personnellement et collectivement : ne soyons ni comme la femme de Loth pétrifiés en nous retournant sur notre passé ; ni comme des sépulcres blanchis qui a force de répétition ne voit pas dans leurs frères et sœurs le Christ passer au milieu d’eux. Mais illuminés par la Révélation divine et forts de nos expériences personnelle et en équipe, avançons au large sous le souffle de l’Esprit Saint qui seul peut nous permettre de rester ouvert à la nouveauté de Dieu.

 

Equipe Synode@Synodalité – Extrait de « ABC de la synodalité »( édition du Cerf) - Père Ludovic Danto par Ateleia - François Roger

Le Pape François - 1ière intervention au balcon de St Pierre le 13 mars 2013

« Et maintenant, initions ce chemin : l’Evêque et le peuple. Ce chemin de l’Eglise de Rome qui est celle qui préside toutes les Eglises dans la charité. Un chemin de fraternité, d’amour, de confiance entre nous. Prions toujours pour nous ; l’un pour l’autre. Prions pour le monde entier afin qu’advienne une grande fraternité et une profonde espérance en Dieu »

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La sainte liturgie de la Parole

21 Octobre 2024 , Rédigé par Espace Liturgique

dimanche 27 octobre - 30ième dimanche du temps ordinaire

D’un « petit reste » le Seigneur peut-il faire rejaillir quelque chose de grand ? 
Oui, répond le prophète Jérémie. Il s’agit du peuple de Dieu qui va reprendre vie 
à Jérusalem après le désastre de l’exil à Babylone. Pour nous qui nous sentons 
parfois bien petits, Dieu peut aussi faire de grandes choses, dans l’Église 
et pour chacun de nous. Ainsi, il guérit l’aveugle Bartimée : une invitation à ouvrir 
nos yeux sur les œuvres de Dieu ? Sûrement ! Le Christ est venu partager notre 
faiblesse humaine, ce qui le rend plein de compassion ; il va jusqu’à donner 
sa propre vie pour nous qui sommes pécheurs, nous rappelle la Lettre aux Hébreux.

 PREMIÈRE LECTURE (JÉRÉMIE 31, 7-9)
« Je les mène, je les conduis vers les cours d’eau par un droit chemin où ils ne trébucheront pas »

Le prophète Jérémie, voyant revenir les déportés d’Israël à Babylone, exhorte le peuple à la prière d’intercession et à l’action de grâce. Nous pouvons nous joindre à cette prière puisque Dieu se révèle alors comme un père plein de tendresse pour son enfant, Éphraïm.

PSAUME 125
« Qui sème dans les larmes moissonne dans la joie »

Le psalmiste mêle supplications pour les captifs et action de grâce pour ce que Dieu a déjà réalisé. Cette prière est pleine d’espérance, comme le semeur voit déjà la récolte dans les semailles.

DEUXIÈME LECTURE ( HÉBREUX 5, 1-6)
« Il est établi pour intervenir en faveur des hommes dans leurs relations avec Dieu. »

En prenant notre condition humaine, le Christ en a accepté les limites. Il a aussi assumé les souffrances de sa Passion, où il a été la victime du sacrifice en offrant sa vie ; puisqu’il s’est offert lui-même, il est aussi le grand-prêtre de cette oblation.

 ÉVANGILE MARC (10, 46B-52)
 « Beaucoup de gens le rabrouaient pour le faire taire, mais il criait de plus belle : “Fils de David, Jésus, prends pitié de moi ! »

En appelant Jésus « Fils de David », Bartimée, sans le voir, le reconnaît comme le Messie attendu et il confesse sa foi en lui. Sa guérison confirme qu’il était dans vérité. Désormais, rien ne fait obstacle à ce qu’il suive le Christ qui monte vers Jérusalem pour souffrir sa Passion.
 

dimanche 27 octobre - 30ième dimanche du temps ordinaire

Samedi 26 octobre
18 H 30   Messe au Konacker

Dimanche 27 octobre  - 30ème Dimanche du Temps  Ordinaire
9 H 15   Messe à Saint Nicolas en Forêt
10 H 30   Assemblée de Prière à Marspich
10 H 30   Messe à Hayange

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Méditation 29e dimanche du Temps Ordinaire 20 octobre 2024

20 Octobre 2024 , Rédigé par Espace Liturgique Publié dans #Méditation Dominicale

Évangile selon saint Marc (10,35-45)

Alors, Jacques et Jean, les fils de Zébédée, s’approchent de Jésus et lui disent : « Maître, ce que nous allons te demander, nous voudrions que tu le fasses pour nous. » Il leur dit : « Que voulez-vous que je fasse pour vous ? » Ils lui répondirent : « Donne-nous de siéger, l’un à ta droite et l’autre à ta gauche, dans ta gloire. » Jésus leur dit : « Vous ne savez pas ce que vous demandez. Pouvez-vous boire la coupe que je vais boire, être baptisé du baptême dans lequel je vais être plongé ? » Ils lui dirent : « Nous le pouvons. » Jésus leur dit : « La coupe que je vais boire, vous la boirez ; et vous serez baptisés du baptême dans lequel je vais être plongé. Quant à siéger à ma droite ou à ma gauche, ce n’est pas à moi de l’accorder ; il y a ceux pour qui cela est préparé. » Les dix autres, qui avaient entendu, se mirent à s’indigner contre Jacques et Jean. Jésus les appela et leur dit : « Vous le savez : ceux que l’on regarde comme chefs des nations les commandent en maîtres ; les grands leur font sentir leur pouvoir. Parmi vous, il ne doit pas en être ainsi. Celui qui veut devenir grand parmi vous sera votre serviteur. Celui qui veut être parmi vous le premier sera l’esclave de tous : car le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi, mais pour servir, et donner sa vie en rançon pour la multitude. »

UNE VIE DE SERVICE

On peut comprendre que les 10 apôtres soient choqués de la demande de Jacques et Jean d’être les mieux placés près de la gloire de Jésus. Pour Jésus, il n’y a pas de hiérarchie dans les 12 apôtres, même si Pierre a un rôle de leader. L’important, c’est que les 12 soient toujours soudés, qu’il n’y en ait pas 2 d’un côté et 10 de l’autre. D’ailleurs, ce sera une de ses dernières prières adressées à son Père le soir du Jeudi saint : « Qu’ils soient un, comme nous-mêmes nous sommes un ».

Jésus reprend calmement Jacques et Jean, sans s’énerver. Il veut les aider à creuser leur demande. La gloire dont ils parlent, qu’ils veulent partager avec Jésus, savent-ils vraiment ce qu’elle représente ? Et par quoi Jésus doit-il passer pour l’atteindre ? Jésus leur parle d’une coupe à boire et d’un baptême à vivre. La coupe, c’est celle de sa souffrance à venir, celle de sa Passion. Son baptême, ce sera sa mort et sa résurrection. Et effectivement les apôtres, après la résurrection de Jésus, iront eux-mêmes jusqu’à donner leur vie au nom de leur amour pour le Christ.

Jésus inverse aussi la demande de Jacques et de Jean qui cherchaient la gloire. Jésus leur parle de service. Ce qui compte, c’est d’être des serviteurs de nos frères et de nos sœurs.

Voilà, Jésus nous demande à nous aussi de purifier nos désirs. Ce n’est pas la gloire que nous devons rechercher, surtout pas en Eglise, du moins une gloire qui serait trop humaine. Ce que nous devons rechercher, c’est la gloire de Dieu. Pour cela, c’est une vie de service que nous devons mener. Une vie au service de nos proches, de l’Eglise, mais aussi au service de la société, pour qu’elle soit plus juste.

En ce moment à Rome, il y a la dernière phase du synode sur la synodalité qui a commencé il y a 3 ans. Ce synode doit permettre à l’Eglise d’être plus à l’écoute du monde d’aujourd’hui. Et d’avoir une organisation qui soit moins hiérarchique et plus fraternelle. Qui ne doit pas être divisée comme risquaient de l’être les apôtres, 2 d’un côté et 10 de l’autre. 

C’est l’unité que veut le Seigneur, cette unité pour laquelle nous faisons des efforts à tous les niveaux : paroisse, communauté de paroisses, archiprêtré, diocèse. Unité avec nos frères d’autres confessions chrétiennes aussi. Plus nous serons unis, plus nous serons missionnaires. Plus nous pourrons témoigner que c’est l’amour de Dieu qui nous sauve, lui qui, par Jésus, a donné sa vie pour nous. 

Soyons ensemble au service d’un monde qui a soif de paix et de justice, soyons ensemble au service de la gloire de Dieu par notre vie de prière, notre vie en Eglise, notre vie de baptisés au service du Royaume de Dieu. L’autorité est le service d’un groupe pour aider les personnes à grandir, à devenir elles-mêmes responsables. Le serviteur est celui qui prend « un temps pour voir…un temps pour choisir…un temps pour agir… ». (pape François)

Sachons pour cela partager la coupe de bénédiction que nous offre le Seigneur, lors de l’eucharistie, et demandons à l’Esprit Saint de guider, l’Eglise à un style de vie synodale et le monde à construire un temps pour changer les guerres en une paix et une justice durable.


Equipe Méditation@Evangile – Extrait de Jean-Christophe Cabanis par François Roger -  Peinture Bernadette Lopez 

 

Prière proposée par les Œuvres Pontificales Missionnaires (OPM) pour accompagner cette semaine qui rappelle à chaque chrétien son devoir d’être missionnaire et d’annoncer l’Évangile : 

Père très bon, Tu nous as donné ton fils Jésus
qui a offert sa vie par amour pour l’humanité,
pour les hommes et femmes d’hier et d’aujourd’hui.
Nous sommes sauvés, pardonnés, invités au banquet
à chaque Eucharistie, au banquet éternel.

À la suite de la Vierge Marie, que notre oui soit oui.
Donne-nous de nous rappeler que le jour de notre baptême,
nous avons revêtu le Christ, le plus beau vêtement pour participer au repas des noces.

En cette année de prière voulue par le Saint-Père,
que nos rendez-vous avec toi dans la prière et dans tes sacrements
soient la respiration de notre âme et la source d’un élan missionnaire inlassable.

Garde-nous fidèles afin que nos frères et sœurs
qui ne te connaissent pas encore puissent dire "Voyez comme ils s’aiment"
et deviennent eux aussi des disciples missionnaires jusqu’aux extrémités de la terre.
Amen

 

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Prière universelle 29e dimanche du Temps Ordinaire

17 Octobre 2024 , Rédigé par Espace Liturgique Publié dans #Prière universelle, #Prière pour la Paix en Terre Sainte

En ce dimanche de la mission universelle de l’Église, prions pour nous tous, qui avons vocation d’annoncer l’Évangile. Que nous vivions cette mission dans un esprit de service. 

Ensemble, prions le Seigneur

Prions pour l’Église appelée à un style de vie synodal. Qu’elle favorise, sous le signe de la coresponsabilité, la participation, la communion et la mission partagée entre prêtres, religieux, laïcs 

Avec le pape François, prions le Seigneur

Prions pour tous ceux qui sont broyés par la souffrance qui leur est imposée par les guerres, les famines, les catastrophes et les maladies. Que, par ta passion, Jésus, ils reçoivent la consolation, la paix et l'espérance.

Prions le Seigneur

Prions pour tous ceux qui chaque dimanche s’engage à la préparation des messes, afin d’accompagner l’assemblée dans sa prière et son chant. Que ce service pour nos frères soit la possibilité de dialoguer avec tous.  

Seigneur, nous t’en prions

 

Equipe PU@Evangile - PrionsenEglise - Peinture bernadette Lopez

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Lectures du dimanche 20 octobre 2024

15 Octobre 2024 , Rédigé par Espace Liturgique

MISA ANDINA

DIMANCHE 20 OCTOBRE 2024 – 29e dimanche du Temps Ordinaire 

DANS LES LECTURES DU JOUR DU SEIGNEUR

Jésus ayant annoncé sa Passion et sa mort, les Apôtres commencent à s’organiser pour la suite de leur aventure avec le Maître : Jacques et Jean veulent être aux premières places dans le Royaume ! Pour le Christ, c’est l’occasion d’établir un lien direct entre le don de sa propre vie pour l’Évangile et la proximité avec lui, dès aujourd’hui et dans l’au-delà. Donner sa vie ne se fait pas seulement aux heures tragiques des persécutions mais aussi dans l’esprit de service qui doit marquer le quotidien de chaque disciple. C’est une exigence que nous devons vivre, dans chacune de nos conditions de vie et envers tous ceux que nous rencontrons, en particulier nos proches

PREMIÈRE LECTURE ISAÏE 53, 10-11 
« Le juste, mon serviteur, justifiera les multitudes, il se chargera de leurs fautes » 

On a souvent justifié la souffrance en lui attribuant un moyen de perfectionnement. Dans le témoignage d’Isaïe, elle est le signe de la fi délité du serviteur. C’est pourquoi celui-ci bénéficie des faveurs du Seigneur. 

PSAUME 32 
« Nous attendons notre vie du Seigneur » 

Que ce soit dans l’épreuve ou dans la paix, nous sommes appelés à reconnaître que Dieu est à l’origine de notre vie. Il s’est engagé à nous montrer son amour. Sur cette parole, nous pouvons faire reposer notre espérance. 

DEUXIÈME LECTURE HÉBREUX 4, 14-16 
« Frères, en Jésus, le Fils de Dieu, nous avons le grand prêtre par excellence » 

Le Christ qui a connu, comme nous, les épreuves et la souffrance, surtout lors de sa Passion, est à même de comprendre nos situations. C’est pourquoi il nous soutient. Aussi, nous confions nos vies à son amour miséricordieux. 

ÉVANGILE MARC 10, 35-45 
« Celui qui veut devenir grand parmi vous sera votre serviteur » 

Quand on entend des personnes qui cherchent une forte reconnaissance de leurs mérites, nous sommes souvent choqués. C’est la réaction des Apôtres après la faveur réclamée par Jacques et Jean. À cela, Jésus donne une réponse qui nous est aussi destinée : « Le plus grand est celui qui se fait le serviteur de tous. » 

PrionsenEglise

Samedi 19 octobre
18 H 30   Messe à Serémange 
 
Dimanche 20 octobre - 29ème Dimanche du Temps Ordinaire
  9 H 15   Messe à Ranguevaux
10 H 30   Messe à Hayange

MISA ANDINA

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Méditation du 28e dimanche du Temps Ordinaire 2024

13 Octobre 2024 , Rédigé par Espace Liturgique Publié dans #Méditation Dominicale

Évangile selon saint Marc (10, 17-30)

En ce temps-là, Jésus se mettait en route quand un homme accourut et, tombant à ses genoux, lui demanda : « Bon Maître, que dois-je faire pour avoir la vie éternelle en héritage? » Jésus lui dit : « Pourquoi dire que je suis bon ? Personne n’est bon, sinon Dieu seul. Tu connais les commandements : ‘Ne commets pas de meurtre, ne commets pas d’adultère, ne commets pas de vol, ne porte pas de faux témoignage, ne fais de tort à personne, honore ton père et ta mère.’ » L’homme répondit : « Maître, tout cela, je l’ai observé depuis ma jeunesse. » Jésus posa son regard sur lui, et il l’aima. Il lui dit : « Une seule chose te manque : va, vends ce que tu as et donne-le aux pauvres ; alors tu auras un trésor au ciel. Puis viens, suis-moi. » Mais lui, à ces mots, devint sombre et s’en alla tout triste, car il avait de grands biens. (…) Jésus reprenant la parole leur dit : « Mes enfants, comme il est difficile d’entrer dans le royaume de Dieu ! Il est plus facile à un chameau de passer par le trou d’une aiguille qu’à un riche d’entrer dans le royaume de Dieu. » De plus en plus déconcertés, les disciples se demandaient entre eux : « Mais alors,  qui  peut  être sauvé ? »  Jésus  les  regarde et dit : « Pour les hommes, c’est impossible, mais pas pour Dieu ; car tout est possible à Dieu. » Pierre se mit à dire à Jésus : «  Voici  que  nous avons tout quitté pour te suivre. » Jésus déclara : « Amen, je vous le dis : nul n’aura  quitté, à cause  de  moi et  de  l’Évangile, une maison, des frères, des sœurs, une mère, un père, des enfants ou une terre sans qu’il reçoive, en ce temps déjà, le centuple : maisons, frères, sœurs, mères, enfants et terres, avec des persécutions, et, dans le monde à venir, la vie éternelle.»

L’EVANGILE DE LA VIE

C’est l’Evangile du jeune homme riche qui nous est donné à méditer en ce début de la semaine missionnaire mondiale. A la question du jeune homme riche « Maître, que dois-je faire pour avoir la vie éternelle ? » Jésus lui rappelle les commandements : « Ne commet pas de meurtre… »

Dès l’origine de l’humanité et de la Bible, la mort est entrée da manière violente dans l’histoire. A la vie ôtée d’Abel par Caïn, se substituera la vie donnée par le Christ qui ouvre le chemin de salut.

La multiplicité des attentats contre la vie dans l’histoire de notre l’humanité continue à être marquée : homicides, guerres, massacres, génocides, malnutrition, famine, dégradations écologiques, diffusion de la drogue, encouragement à des comportements sexuels dangereux pour la vie…

Tout ce qui s’oppose à la vie elle-même, l’avortement, l’euthanasie, , tout ce qui constitue une violation à l’intégrité de la personne humaine, comme les mutilations, la torture physique ou morale, les tentatives de contrainte psychiques, tout ce qui offense à la dignité de l’homme, comme les emprisonnements arbitraires, les déportations, l’esclavage, la prostitution, le commerce des femmes et des jeunes, les conditions de travail dégradantes qui réduisent les travailleurs au rang de purs instruments de rapport, sans égard pour leur personnalité libre et responsable. Toutes ces pratiques et d’autres analogues, sont en vérité, infâmes.

Tandis qu’elles corrompent la civilisation, elles déshonorent ceux qui s’y livrent plus encore que ceux qui les subissent, et elles insultent gravement à l’honneur du Créateur..

Après la fin de la Deuxième Guerre mondiale, et comme conséquence des procès de Nuremberg, les Nations Unies ont condamné judiciairement  la destruction intentionnelle d’un peuple entier et sa culture, appelant ce crime contre l’humanité « génocide ».

Aujourd’hui ce « génocide » s’accompagne de la destruction immuable et intentionnelle de l’environnement dans lequel un peuple peut vivre d’une manière qu’il a choisi doit être considéré comme un crime contre l’humanité, désigné par le terme « écocide ». Les pays les plus développées ont déjà commis des autoécocides sur de grandes parties de leurs propres pays.  

Le monde devient plus violent qu'au début de ce siècle, et d'ici la fin 2024 on a atteint au moins huit guerres majeures, en plus de dizaines de conflits armés à la recherche de territoires ou de gouvernements.

L'année dernière est considérée comme la plus meurtrière due aux conflits depuis le génocide rwandais de 1994, avec un total de 237 000 morts. Parallèlement à la guerre entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza, qui a accumulé des milliers de morts depuis le 7 octobre, et à l'invasion Russe de l'Ukraine, en février 2022, des conflits armés de grande ampleur se déroulent actuellement au Burkina Faso, Somalie, Soudan, Yémen, Birmanie, Nigeria et Syrie, en Éthiopie, au Darfour…

Barrage près de Kherson en Uckraine

Ces guerres témoignent d'interventions humaines ayant abouti à la destruction de grands écosystèmes, comme l'assèchement de la mer d'Aral ou la destruction des forêts du Viêt Nam ou du Cambodge, la déforestation en Amazonie,  la destruction du barrage près de Kherson et de ses conséquences
« Que devons-nous faire pour avoir la vie éternelle ? » Au nom de notre l’humanité les Nations Unies doivent inscrire une proposition contre l’écocide et condamner tous les systèmes et tous ceux qui la provoque ?

La vie est confiée à l’homme comme un trésor à ne pas dilapider, comme un talent à faire fructifier, nous rappelle l’Evangile de la vie aujourd’hui. Rendons grâce à Dieu, au cours de cette semaine missionnaire mondiale, de creuser en nous le désir d’hériter dés aujourd’hui de la vie éternelle. Laissons-nous guider par les mots du Pape François « Allez et invitez tout le monde à la noce » Quelle aventure enthousiasmante !

Au jeune homme riche, Jésus ne dit pas autre chose…. Les lectures de ce dimanche apportent une résonance particulière à cette tonalité de la mission ; la vraie richesse vient de la Parole de Dieu, qui " juge des intentions et des pensées du cœur " source de vie éternelle. Puisse-t-elle nourrir notre foi et notre vie, et faire de nous ses témoins en tous lieux d’humanité.


Equipe Méditation@Evangile – Extrait de L’Evangile de la vie de St Jean-Paul II par François Roger – Peinture Bernadette Lopez

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Prière universelle 28e dimanche du Temps Ordinaire 2024

10 Octobre 2024 , Rédigé par Espace Liturgique Publié dans #Prière universelle

Prions pour l'Église si bousculée actuellement. Prions pour que le Synode sur la synodalité permette à chacun de trouver sa place de baptisé, quel que soit son état de vie. Donne-nous de reconnaître les dons spirituels de chacun pour que nos communautés soient vivantes.

Dieu de sagesse, nous t’en prions

Prions pour tous ceux dont les conditions de vie sont détruites par les catastrophes naturelles liées aux dérèglements climatiques, et par les désastres provoqués par les bombardements aveugles dans les pays en guerre. Prions pour que les organismes de solidarité aient les moyens d'agir sereinement.

Dieu de paix, nous t’en prions

Alors que s’ouvre aujourd’hui la Semaine missionnaire mondiale, prions pour que l’Église annonce la parole de Dieu à tous les peuples, de toutes nations, de toutes cultures. 

Dieu d'unité, nous t’en prions

"Jésus posa son regard sur lui et l'aima", certifie l'évangéliste. Prions pour que ce regard d'amour de Dieu sur chacun d'entre nous soit accueilli. Qu'il devienne le cœur de notre vie humaine et chrétienne.

Dieu de vie, nous t’en prions

 

EquioePU@Evangile – Pierre Lemaire – Colomier – François Roger- Peinture Bernadette Lopez

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Annonce des messes du 8 au 13 octobre 2024

7 Octobre 2024 , Rédigé par Espace Liturgique Publié dans #Annonce des messes

       
28e DIMANCHE DU TEMPS ORDINAIRE – La Semaine missionnaire mondiale s’ouvre aujourd’hui. Le pape François lui a donné comme thème : « Allez et invitez tout le monde à la noce » (cf. Mt 22, 9). Les lectures de ce dimanche apportent une résonance particulière à cette tonalité de la mission : la vraie richesse vient de la Parole de Dieu, source de vie éternelle. Puisse-t-elle nourrir notre foi et notre vie, et faire de nous ses témoins en tous lieux d’humanité.

Samedi 12 octobre
18 H 30   Messe à Marspich
 Dimanche 13 octobre   28ème Dimanche du Temps  Ordinaire
  9 H 15   Messe à Neufchef
  9 H 15   Assemblée de Prière au Konacker
10 H 30   Messe à Hayange animée par l’ensemble instrumental péruvien, Musocc Illary et les chorales : Opéra de Thionville, Americanto de Blanzat et Cantate de Longwy.

 

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Méditation 27e dimanche du Temps Ordinaire 2024

6 Octobre 2024 , Rédigé par Espace Liturgique Publié dans #Méditation Dominicale

Evangile selon saint Marc (10, 2-16)

Des pharisiens l’abordèrent et, pour le mettre à l’épreuve, ils lui demandaient : « Est-il permis à un mari de renvoyer sa femme ? » Jésus leur répondit : « Que vous a prescrit Moïse ? » Ils lui dirent : « Moïse a permis de renvoyer sa femme à condition d’établir un acte de répudiation. » Jésus répliqua : « C’est en raison de la dureté de vos cœurs qu’il a formulé pour vous cette règle. Mais, au commencement de la création, Dieu les fit homme et femme. À cause de cela, l’homme quittera son père et sa mère, il s’attachera à sa femme, et tous deux deviendront une seule chair. Ainsi, ils ne sont plus deux, mais une seule chair. Donc, ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare pas ! » De retour à la maison, les disciples l’interrogeaient de nouveau sur cette question. Il leur déclara : « Celui qui renvoie sa femme et en épouse une autre devient adultère envers elle. Si une femme qui a renvoyé son mari en épouse un autre, elle devient adultère. » Des gens présentaient à Jésus des enfants pour qu’il pose la main sur eux ; mais les disciples les écartèrent vivement. Voyant cela, Jésus se fâcha et leur dit : « Laissez les enfants venir à moi, ne les empêchez pas, car le royaume de Dieu est à ceux qui leur ressemblent. Amen, je vous le dis : celui qui n’accueille pas le royaume de Dieu à la manière d’un enfant n’y entrera pas. » Il les embrassait et les bénissait en leur imposant les mains.

DIVIN PROJET

Ce récit du Livre de la genèse sur la création de l’homme et de la femme dont l’Evangile de ce jour nous parle est un enseignement sur un aspect parmi les plus beaux et les plus délicats de la vie humaine : la sexualité

Pour comprendre le sens de la sexualité, nous devons être très attentifs à ce que Dieu nous dit, à ce qu’il nous enseigne, car l’une des premières conséquences du péché originel est d’introduire un désordre dans les relations entre les deux sexes. Dans notre monde où règne le péché, ce désordre est présent plus que jamais, entraînant des confusions, des souffrances, et des problèmes à grande échelle.

Le sujet est tellement important aux yeux de Dieu que les Evangiles mêmes nous rapportent le commentaire personnel de Jésus lui-même de ce passage de la Genèse. Dans sa conversation avec les Pharisiens que nous venons d’entendre dans l’Evangile d’aujourd’hui, Jésus met l’accent sur les vérités radicales au sujet de notre sexualité. 

Regardons donc les trois caractéristiques de ce projet divin. La première chose que Dieu nous enseigne au sujet de la sexualité humaine, c’est qu’elle est bonne ; elle fait intrinsèquement partie de son projet d’amour sur nous et sur notre humanité    ;    
 
La deuxième vérité que Dieu veut nous montrer au sujet de la sexualité est qu’elle est déterminée par deux sexes distincts. Quand Dieu crée les êtres humains, il les crée homme et femme. Cette structure totale de la complémentarité ressort très fortement de la première lecture. Eve est créée à partir de la côte d’Adam, au même niveau qu’Adam, partageant sa propre dignité. Elle est une personne, créée à l’image de Dieu, tout comme Adam. Adam a besoin de cette relation avec une autre personne pour atteindre son propre accomplissement.

Adam et Eve sont égaux en dignité, ils sont complémentaires sexuellement. Cette complémentarité, nous pouvons tous la reconnaître. Normalement, nous faisons tous l’expérience de la force d’attraction très mystérieuse que nous ressentons pour le sexe opposé. 

L’homme et la femme sont supposés devenir des époux, mari et femme ; créés pour être complémentaires, et être le noyau d’une nouvelle famille.

La troisième vérité essentielle que Dieu veut nous enseigner au sujet de la sexualité humaine concerne notre manière d’en user. Les deux premières vérités nous enseignent ce qu’est la sexualité. La troisième est en rapport avec la manière dont nous devons la vivre. L’intimité sexuelle, dans le dessein de Dieu, a une finalité réelle, spécifique : elle est un langage d’amour entre époux. En d’autres mots, c’est une manière de communiquer et de se donner soi-même qui est propre au mariage exclusivement, c’est-à-dire à un engagement durable entre un homme et une femme qui veulent fonder une nouvelle famille.

Voilà ce que nous dit la Genèse :
A cause de cela, l'homme quittera son père et sa mère,
il s'attachera à sa femme, et tous deux ne feront plus qu'un
.
"

Les deux ne font plus qu’un : le mariage est entre un homme et une femme. Ils ne font plus qu’un : c’est une union de personnes, un lien qui ne peut être rompu ou interrompu, si ce n’est par la mort de l’un d’entre eux, tout comme l’enfant qui provient de cette union ne peut pas être "interrompu". 

Voilà ce qui fonde l’enseignement de l’Eglise au sujet du divorce et du remariage. Il est facile de méconnaître cet enseignement, estimant que les annulations sont une manière catholique de divorcer. Le divorce et l’annulation d’un mariage sont très différents. 

Divorcer et se remarier veut dire qu’un vrai lien marital était réellement formé, ensuite rompu, et qu’un autre lien est formé. Une annulation est la reconnaissance que du fait que, dès le point de départ, il y avait un obstacle à la formation d’un lien marital, si bien que l’union entre un homme et une femme n’a jamais été réalisée.

Bien que le Seigneur appelle certains à un mariage spirituel avec lui-même dans l’Eglise, par les ministères ordonnés, la majorité de ses enfants sont appelés au mariage et à la vie de famille. Dans ce monde déchu, et parce que nous sommes tous blessés par le péché et assaillis par les tentations des forces du mal, qui veulent empêcher ces unions entre l’homme et la femme, il n’est pas facile de réaliser pleinement la vocation au mariage et au célibat.

La Sainte Famille

Voilà la vérité : Jésus sait que construire un mariage et une famille sains et saints dans un monde où règne le péché est une entreprise qui dépasse les forces humaines. Mais si nous construisons sur lui comme fondation, une communion d’amour naturelle entre nos corps, nos esprits, nos cœurs et nos âmes, alors lui-même nous guidera. Avec lui comme guide, le projet de Dieu sur la sexualité humaine n’est plus seulement un idéal de beauté, mais une réalité incroyablement exaltante. Etendu à l’humanité des familles du monde, elle conduit à nous rétablir dans le Jardin d’Eden, refoulant en enfer Satan et les autres esprits mauvais qui sont répandus dans le monde pour perdre nos esprits, nos cœurs, nos corps et nos âmes

Rendons grâce à Dieu de nous avoir créés et pour nous avoir révélé ce projet divin sur la sexualité humaine. et promettons-lui de faire tout notre possible pour que ce projet puisse se réaliser, avec le secours de sa grâce. L’alliance qui lie l’Homme et Dieu se retrouve dans l’alliance entre les humains. Donnons le meilleur de nous-mêmes pour être heureux en famille.
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Equipe Méditation@Evangile - Extrait de Praedicatho – François Roger- Peinture Bernadette Lopez

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Prière universelle 27e dimanche du Temps Ordinaire 2024

3 Octobre 2024 , Rédigé par Espace Liturgique Publié dans #Prière universelle

Prions pour l'Église, qu’elle continue à soutenir, de toutes les manières possibles, un style de vie synodal, sous le signe de la coresponsabilité, en favorisant la participation, la communion et la mission partagée entre prêtres, religieux et laïcs.

Dieu notre Père, nous te supplions 

Prions pour les dirigeants des nations afin qu’ils s’engagent à faire cesser les guerres meurtrières qui endeuillent tant de populations, et qui détruisent tant de familles. Prions pour ceux qui combattent pour la Paix, contre les dictatures politiques, idéologiques et sociétales de toutes sortes.

Seigneur, nous t’en prions

Prions pour les couples qui sont dans la joie et le bonheur d’un amour partagé… pour ceux qui envisagent de vivre ensemble dans le mariage… pour ceux aussi qui souffrent d’une séparation, d’un célibat non choisi, d’un veuvage… Pour les enfants vivant difficilement la rupture entre leurs parents.
Que ton Esprit apporte, à chacun, ta Tendresse qui jamais ne juge, ni ne condamne, et invite à l’espérance…

Dieu notre Père, nous te supplions 

« Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare pas » nous dit Jésus…
Pour les acteurs de la pastorale du mariage… Pour les jeunes qui choisissent le mariage et désirent s’engager dans la durée, à vivre ensemble… Que leurs foyers soient des lieux de respect et d’attention pour chacun afin, qu’en eux, chacun trouve sa voie dans le bonheur vécu en famille…

Seigneur, nous t’en prions

EquipePU@Evangile - PrionsenEglise - Peinture Bernadette Lopez

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