Prière universelle 27e dimanche de Temps ordinaire
« Augmente en nous la foi » demande les apôtres à Jésus. Pour les pasteurs, les missionnaires et les laïcs engagés de l’Église. Afin que la foi nourrie de la prière soutienne toujours leurs actions et les rende fécondes, Nous te prions, Seigneur
« Ravive le don gratuit qui est en toi », nous supplie saint Paul, en parlant du don de l’Esprit Saint. Prions pour que chacun d’entre nous se laisse saisir par l’amour infini de Dieu et devienne témoin joyeux du Royaume de Dieu. Seigneur nous te prions.
« Aujourd’hui, écoutez la voix du Seigneur », chante le psaume. Prions pour tous ceux qui annoncent aux périphéries de notre monde, la bonne nouvelle de l’Évangile parfois au risque de leur vie. Seigneur nous te prions.
« Devant moi, pillage et violence, dispute et discorde se déchaînent », constate, impuissant, le prophète Habacuc. Prions pour tous nos contemporains soumis à de telles détresses, à cause des guerres et du saccage de la planète. Seigneur nous te prions.
Equipe PU@Evangile - Pierre Lemaire et MM Peters – Peinture Bernadette Lopez
Annonces des messe du 29 septembre au 2 octobre
Jeudi 29 septembre
9 h 00 Messe à Hayange
Samedi 1er octobre
18 h 00 Messe à Serémange
18 h 00 Messe à Saint Nicolas en Forêt
Dimanche 2 octobre
9 h 15 Messe au Konacker
10 h 30 Messe à Marspich
10 h 30 Messe à Hayange
Méditation 26e dimanche du Temps Ordinaire
Évangile selon saint Luc (16, 19-31)
En ce temps-là, Jésus disait aux pharisiens : « Il y avait un homme riche, vêtu de pourpre et de lin fin, qui faisait chaque jour des festins somptueux. Devant son portail gisait un pauvre nommé Lazare, qui était couvert d’ulcères. Il aurait bien voulu se rassasier de ce qui tombait de la table du riche ; mais les chiens, eux, venaient lécher ses ulcères. Or le pauvre mourut, et les anges l’emportèrent auprès d’Abraham. Le riche mourut aussi, et on l’enterra. Au séjour des morts, il était en proie à la torture ; levant les yeux, il vit Abraham de loin et Lazare tout près de lui. Alors il cria : “Père Abraham, prends pitié de moi et envoie Lazare tremper le bout de son doigt dans l’eau pour me rafraîchir la langue, car je souffre terriblement dans cette fournaise. – Mon enfant, répondit Abraham, rappelle-toi : tu as reçu le bonheur pendant ta vie, et Lazare, le malheur pendant la sienne. Maintenant, lui, il trouve ici la consolation, et toi, la souffrance. Et en plus de tout cela, un grand abîme a été établi entre vous et nous, pour que ceux qui voudraient passer vers vous ne le puissent pas, et que, de là-bas non plus, on ne traverse pas vers nous.” Le riche répliqua : “Eh bien ! père, je te prie d’envoyer Lazare dans la maison de mon père. En effet, j’ai cinq frères : qu’il leur porte son témoignage, de peur qu’eux aussi ne viennent dans ce lieu de torture !” Abraham lui dit : “Ils ont Moïse et les Prophètes : qu’ils les écoutent ! – Non, père Abraham, dit-il, mais si quelqu’un de chez les morts vient les trouver, ils se convertiront.” Abraham répondit : “S’ils n’écoutent pas Moïse ni les Prophètes, quelqu’un pourra bien ressusciter d’entre les morts : ils ne seront pas convaincus.” »
PAUVRE SIGNE
Redoutable histoire que Jésus partage aux pharisiens autour de lui. Critique ouverte d’une cécité et d’une indifférence aux pauvres manifeste. Pour le riche repu, le pauvre n’existe pas. Il ne le voit pas. Et pourtant ses propres chiens, eux, ne ratent pas de lécher ses plaies. Comme deux dimensions détachées, sans lien. Mais un regard observe. Dieu écoute.
A ses yeux, le pauvre existe. Il porte d’ailleurs un nom et sa justice est de le rétablir en sa dignité de fils d’Abraham. Sa pauvreté tourne en joie et en privilège. Il retrouve sa place parmi les siens. À l’inverse, c’est la terrible rétribution pour le riche qui s’est perdu en méprisant son frère dans le besoin. Dieu a déjà parlé plusieurs fois. La Loi et les Prophètes sont là pour l’attester. L’homme a le cœur dur et la nuque raide. Il se voit et se comprend dans son univers autocentré où il existe seul. Passée la porte de la mort, il se retrouve figé dans l’enfer qu’il a lui-même créé. Cruel retournement de situation.
Le pauvre existe tout à coup. Il représente même cette opportunité de consolation et de salut. Le riche est révélé à lui-même. Mais sa conscience anesthésiée n’exprime aucun regret pour Lazare. Son droit à l’indifférence exercé à l’outrance se commue en droit d’utilisation du pauvre Lazare pour adoucir sa peine et l’épargner aux gens de sa caste. L’abîme se creuse encore et se fige… la perte de soi commence avec la perte du frère. L’insularité égoïste reste de ce monde mais n’a pas cours dans le Royaume. La revanche de Dieu sur la maltraitance est sa bonté. Mais même cela ne peut plus être vu et accueilli, tant le regard est déformé, et le désir recourbé.
La revanche de Dieu existe. Elle est à portée de cœur et de frère. Il nous faut rompre toutes nos insularités autosuffisantes et nous risquer dans le monde de la pauvreté de l’autre. Il y a bien des chances d’y rencontrer la nôtre. Le pauvre nous fait signe. Il élargit notre périmètre. Il oblige notre vie à l’option « grand-angle ». Ce qui lui manque devrait aussi nous manquer. Rien de ce qui arrive à aucun de nos frères ne devrait nous laisser dans l’indifférence du repu. Même un meurtrier devrait pouvoir découvrir dans notre seul regard quelque chose de plus grand que son humanité défigurée par ses actes et son histoire. Abraham est donc pris à témoin pour nous rappeler le devoir de solidarité.
Le pauvre est le rappel et la dénonciation permanente du péché qui habite nos vies. Jésus sur la croix est, quant à lui, le pardon transcendant qui traverse tous nos abîmes et nous restitue dans la seule communauté des bien-aimés du Père. Heureux les pauvres ! Le festin est pour tous !
Equipe Evangile@Peinture - Marie-Dominique Minassian - Peinture Bernadette Lopez
Prière universelle 26e dimanche de Temps ordinaire
Pour l'Eglise que nous sommes, pour notre pape, nos évêques, nos prêtres et pour tous ceux qui portent l'Evangile de par le monde : Qu'ils demeurent inaccessibles aux compromissions avec les nantis et les repus de notre société de consommation, Seigneur, nous t’en prions
Prions pour les responsables politiques. Donne-leur, Seigneur, ton Esprit de discernement, pour que soient trouvées des solutions de paix là où les conflits armés perdurent, notamment en Russie et en Ukraine, Seigneur, nous t'en prions
Pour chacun de nous, qui que nous soyons, familles aisées ou familles aux revenus modestes : que nous cessions de supporter passivement le grand abîme qui sépare riches et pauvres et que nous travaillions à un monde fraternel et plus juste, Seigneur, nous t’en prions
Pour ceux qui ne peuvent rejoindre une assemblée dominicale, en particulier les personnes isolées, malades. Donne ton Esprit de communion à tous. Qu’il ouvre nos cœurs et nos mains à ceux que nous rencontrerons en difficulté, Seigneur, nous t’en prions
Equipe PU@Evangile - M-M Peters - Photo interpauvre
Annonce des messes du 22 au 25 septembre
Jeudi 22 septembre
9 h 00 Messe à Hayange
Samedi 24 septembre
18 h 00 Messe à Ranguevaux
Dimanche 25 septembre
9 h 15 Messe à Neufchef
9 h 15 Assemblée de Prière au Konacker
10 h 30 Assemblée de Prière à Marspich
10 h 30 Messe à Hayange
Les Parachutistes fêtent la "Saint Michel"
– Daniel BONACOSSI (anniversaire, 3 ans) – Antonio PUERTA et Maria Luisa BONILLA – Aida VIEIRA, Sofia MARQUES, Manuel PIRES, Ana MARQUES, Gervasio BARROSO – Claudine ASTOLFI – Roland COQUIN décédé le 16 septembre à 87 ans –
11 h 30 Baptêmes à Hayange – Serena – Giulia – Leo – Gabin –
16 h 00 église Saint-Martin de Hayange :
Récital d’orgue par Frédéric Mayeur (organiste de la cathédrale de Dijon et de la basilique du Sacré-Cœur de Nancy) : « Le Choral symphonique pour orgue ». Œuvres de Franck et Guilmant.
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Évangile selon saint Luc (16, 1-13)
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Un homme riche avait un gérant qui lui fut dénoncé comme dilapidant ses biens. Il le convoqua et lui dit : “Qu’est-ce que j’apprends à ton sujet ? Rends-moi les comptes de ta gestion, car tu ne peux plus être mon gérant.” Le gérant se dit en lui-même : “Que vais-je faire, puisque mon maître me retire la gestion ? Travailler la terre ? Je n’en ai pas la force. Mendier ? J’aurais honte. Je sais ce que je vais faire, pour qu’une fois renvoyer de ma gérance, des gens m’accueillent chez eux.” Il fit alors venir, un par un, ceux qui avaient des dettes envers son maître. Il demanda au premier : “Combien dois-tu à mon maître ?” Il répondit : “Cent barils d’huile.” Le gérant lui dit : “Voici ton reçu ; vite, assieds-toi et écris cinquante.” Puis il demanda à un autre : “Et toi, combien dois-tu ?” Il répondit : “Cent sacs de blé.” Le gérant lui dit : “Voici ton reçu, écris quatre-vingts.” Le maître fit l’éloge de ce gérant malhonnête car il avait agi avec habileté ; en effet, les fils de ce monde sont plus habiles entre eux que les fils de la lumière. » Eh bien moi, je vous le dis : Faites-vous des amis avec l’argent malhonnête, afin que, le jour où il ne sera plus là, ces amis vous accueillent dans les demeures éternelles. Celui qui est digne de confiance dans la moindre chose est digne de confiance aussi dans une grande. Celui qui est malhonnête dans la moindre chose est malhonnête aussi dans une grande. Si donc vous n’avez pas été dignes de confiance pour l’argent malhonnête, qui vous confiera le bien véritable ? Et si, pour ce qui est à autrui, vous n’avez pas été dignes de confiance, ce qui vous revient, qui vous le donnera ? Aucun domestique ne peut servir deux maîtres : ou bien il haïra l’un et aimera l’autre, ou bien il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’argent. »
BIEN PLACÉ
Étrange histoire… Difficile à croire que Jésus fasse ici l’apologie de la duplicité… c’est le maître qui semble accueillir avec admiration le dernier haut fait de son gérant avec son argent pour s’en sortir… il semble même saluer cette ultime remise de dettes pour se constituer autour de lui des gens redevables sur lesquels il pourra compter quand il sera dans le besoin. Dextérité dans la malhonnêteté… rien de vraiment admirable… plutôt un contre-exemple qui permet à Jésus d’appuyer son enseignement.
Dans l’habileté du gérant, il y a l’intuition que l’argent, à défaut d’être une fin, peut aussi être un moyen. Nul besoin de le diaboliser. Il faut seulement savoir se servir de l’argent et non se laisser asservir par lui. On pourrait simplement s’arrêter là mais Jésus donne la clé profonde de l’histoire.
Le texte ne vient pas seulement nous chercher dans notre rapport à l’argent. Il vient nous questionner plus profondément sur le sens de notre action. Si nous sommes bien au clair sur le but que nous poursuivons, alors nous serons aussi habiles à tout mettre en œuvre pour y parvenir. À ceci près que la duplicité et le centuple promis du Royaume ne font pas bon ménage. Tromper les autres, c’est se tromper soi-même. Le Royaume et la vie éternelle ne se gagnent pas à coup d’habiletés, mais ils sont offerts au cœur pur et sans partage, honnête et vrai en toutes choses. Le cap de la vie heureuse selon l’évangile est donc tracé.
Pas d’autre bonheur que toi Seigneur. Pas d’autre maître que toi et tous ceux que tu placeras sur notre chemin. Servir l’autre et te servir c’est une seule et même chose. C’est de ta vie que nous vivons déjà en y aspirant. Quoiqu’il nous arrive, qui nous séparera de cette sécurité et de cette joie-là ?
Equipe Evangile@Peinture – M-D Minassian - Peinture Bernadette Lopez
Prière universelle 25e dimanche de Temps ordinaire
Pour les responsables d'Eglise ... Mets en eux l'Esprit de l'Evangile qui les aidera à témoigner du Christ vivant et à faire grandir chaque jour le choix qu'ils ont fait, Seigneur, nous t’en prions
Pour tous ceux qui croient au Christ. Qu’à l’image du gérant de l’Evangile, nous puissions faire preuve de finesse, de créativité et d’inventivité lorsque nous témoignons de notre joie de croire, Seigneur, nous t’en prions
Pour les chefs d’État et tous les dirigeants. Qu’ils exercent l’autorité sans chercher leur propre intérêt, afin que nous puissions mener notre vie dans la tranquillité et le calme, en toute piété et dignité, Seigneur, nous t’en prions
Pour la fraternité. Rends-nous pauvres, doux et miséricordieux et accorde à tous tes enfants de savoir tisser des liens désintéressés, gratuits et fraternels, surtout avec les personnes les plus pauvres, Seigneur, nous t’en prions
En ce mois de rentrée, soyons dans la joie pour les personnes qui ont rejoint notre assemblée paroissiale. Pour celles et ceux qui commencent un chemin de préparation vers le baptême, la confirmation, la première communion... Seigneur, nous te prions
Equipe PU@Evangile - M-M Peters - Peinture Bernadette Lopez
Annonce des messes du 15 au 18 septembre
Jeudi 15 septembre
9 h 00 Messe à Hayange
Samedi 17 septembre
18 h 30 Messe à Marspich
Dimanche 18 septembre
9 h 15 Assemblée de Prière au Konacker
10 h 30 Messe à Hayange
11 h 30 Baptêmes à Hayange – Tiago – Théo
Méditation 24e dimanche du Temps Ordinaire
« L’amour miséricordieux du Père »
Les textes de la liturgie de ce dimanche nous invitent à méditer sur l’amour miséricordieux de notre Dieu. La première lecture, tirée du livre de l’Exode, nous raconte comment après que le peuple hébreu avait gravement péché en se fabriquant et en adorant un dieu matériel, le veau d’or, Dieu annonça à Moïse un châtiment contre ce peuple. Mais Moïse intercéda pour le peuple auprès de Dieu, et grâce à sa prière pressante, le Seigneur renonça à sa colère et pardonna aux fils d’Israël leur idolâtrie.
Dans la deuxième lecture, Saint Paul nous parle de sa propre expérience de la miséricorde divine. Le Seigneur lui a pardonné sa vie de blasphémateur et persécuteur des chrétiens, et a fait de lui son grand apôtre. Et la grande humilité avec laquelle Paul exprime son expérience nous interpelle. Il dit en effet : « le Christ est venu dans le monde pour sauver les pécheurs ; et moi le premier, je suis pécheur. Mais si le Christ m’a pardonné, c’est pour que je sois le premier en qui toute sa générosité se manifesterait ; je devrais être le premier exemple de ceux qui croiraient en lui pour la vie éternelle ». Ne sommes-nous pas, nous, souvent tentés plutôt de nous croire justes et sans péché, et de ne voir les péchés que chez les autres ?
Saint Luc dans l’évangile, nous rapporte les trois paraboles à travers lesquelles Jésus enseigne de manière claire cette miséricorde du Père envers les pécheurs.
Deux attitudes fondamentales caractérisent ces paraboles : la recherche de ce qui est perdu et l’invitation à la joie. En effet, dans la première parabole, le berger abandonne ses 99 brebis pour aller chercher une seule qui est perdue ; tandis que dans la deuxième, la femme dépense tant d’énergies pour chercher avec soin une de ses dix pièces d’argent ; et dans la troisième, le père était là à guetter le retour de son fils cadet. Celui-ci avait pourtant pris son autonomie et était parti dépenser la part d’héritage qu’il avait forcé son père à lui donner. D’autre part, dans ces paraboles, la découverte de la brebis et la pièce perdues comme les retrouvailles avec l’enfant prodigue sont vécues comme motif de joie que les infortunés désirent partager avec leur entourage : « réjouissez-vous avec moi... » Les murmures des pharisiens et scribes montrent donc qu’ils ne comprennent pas encore la logique de Dieu, qui se réjouit de la conversion des pécheurs et invite à partager sa joie.
Frères et sœurs, comme les fils d’Israël dans le désert, ou comme le fils prodigue de l’évangile de ce jour, nous, chrétiens d’aujourd’hui, nous péchons contre notre Dieu par diverses formes d’idolâtrie : l’argent, le pouvoir, le succès personnel, l’indifférence envers les autres, etc. Mais notre Dieu reste toujours fidèle, lent à la colère et plein d’amour. Il nous guette, espérant toujours notre conversion, notre retour vers lui. Et, il ne se lassera jamais de nous pardonner. Demandons-lui aujourd’hui d’ouvrir notre cœur et notre esprit à sa miséricorde infinie et de nous aider à devenir nous-mêmes un peu plus miséricordieux les uns envers les autres.
Equipe Evangile@Peinture - Le père jésuite Flavien Zolabi – Peinture Bernadette Lopez
Prière universelle 24e dimanche de Temps ordinaire
" J'ai retrouvé ma brebis " Notre Eglise prend conscience qu'elle doit œuvrer sans relâche aux " périphéries" afin de rejoindre tous nos frères. que son élan missionnaire ne soit jamais interrompu ou remis en cause, Seigneur, nous t’en prions
« Le Christ Jésus m’a estimé digne de confiance ». Toi qui nous confies ta Création que tu as fait belle pour nous, envoie sur nous ton Esprit Saint. Qu’Il nous donne la force de la protéger et de lui rendre sa beauté, pour la joie de tout homme. Seigneur nous te prions.
« Mon fils est revenu à la vie ». Prions pour tous ceux qui, dans nos sociétés de consommation, se perdent à toujours vouloir plus. Prions pour ceux qui sont attentifs aux besoins de leurs proches, qui les écoutent et qui leur viennent en aide. Seigneur nous te prions.
" Il est revenu à la vie" La parabole du fils prodigue nous invite à nous réjouir quand des hommes et des femmes découvrent la bonté et le pardon de Dieu. Pour que notre communauté de paroisses soit pour tous un lieu d’accueil et de fête, Seigneur, nous te prions