Hayange : Journée du pardon pour les communions et les confirmands
72 enfants de la communauté de paroisses « berceau du fer » de saint Jean XXIII et 13 confirmands de l’archiprêtré étaient réunis, samedi 23 mars, de 14 h à 18 h pour recevoir le Sacrement de réconciliation, dans la chapelle du Konacker.
Les confirmands ont accueilli les enfants en mimant l’enfant prodigue. Ils ont interpellé les enfants en actualisant la Bonne Nouvelle de Jésus Christ.
Partagés en 5 groupes, les enfants, les jeunes, les parents et les accompagnateurs ont réfléchi sur l’examen de conscience et le pardon avec à l’appui un dossier étoffé de jeux, de questions et de travail manuel.
L’après-midi fut ponctué par un temps de réflexion, un temps de goûter, un temps de confession individuelle et un temps pour brûler les péchés. De nombreuses mamans volontaires ont encadré les enfants lors des ateliers et du goûter.
5 prêtres ont confessé, dans la chapelle, des enfants et des jeunes heureux de vivre pleinement ce Sacrement.
Une assemblée de prières a clôturé ce bel après-midi où beaucoup de parents étaient présents sans oublier le verre de l’amitié. Merci à tous et à la paroisse du Konacker pour son accueil.
Bien plus qu'une affaire de famille
L'évangile de ce jour, appelé généralement la parabole du fils prodigue, nous parle en réalité d'un père et de ses deux fils :
- le fils le plus jeune n'est pas seulement « prodigue » c'est à dire follement dépensier, mais égoïste et ingrat. Il part avec la moitié des biens du père et il part sans projet de retour. Il revient uniquement à cause de la misère où il est tombé, n'imaginant rien d'autre qu'un emploi de salarié chez son père.
- le fils aîné lui aussi semble se considérer comme un simple employé de son père ; il se montre jaloux de son frère et très rancunier à son égard.
- le père lui, n'a jamais oublié celui qui est parti et a toujours espéré son retour. Il l'accueille sans reproche et lui rend tout de suite sa confiance. Et il invite l’aîné, avec lequel il partage tout, au même pardon et à la même joie.
Plus que le fils prodigue, le personnage principal c'est le Père, en qui nous sommes invités à reconnaître Dieu lui-même :
Jésus, « que les publicains et les pécheurs viennent tous écouter », Jésus « qui leur fait bon accueil et qui mange avec eux » raconte cette parabole pour justifier son comportement : il ne fait rien d'autre qu'adopter le regard de son Père.
- A ceux qui se reconnaissent dans le fils prodigue, Jésus leur annonce le pardon sans limites.
- A ceux qui condamnent sévèrement les autres, Jésus les invite à la miséricorde.
Que d’attentes et de souffrances sont ainsi vécues ! Dans la durée, avec une dégradation des états de vie, le père comme le fils cherchent des signes d’espérance. Le père et le cadet vont réinventer une relation nouvelle. Plus question d’héritage, plus question de rester dans l’ignorance de l’autre, il s’agit de réapprendre à vivre ensemble dans une vérité nouvelle de l’amour : le pardon, ce don au-delà de l’attendu. La fidélité du frère aîné n’est pas en cause, il se situe dans le droit, ses droits, sans établir une communication avec son père et son frère…
Entrer dans les retrouvailles demande un abandon qui ouvre à l’amour et l’amour est toujours un choix. C’est le choix du Père prodigue d’amour qu’il nous faut oser !
« Dieu nous a réconciliés avec lui par le Christ » écrit St Paul. « Il n'a pas tenu compte de nos fautes...Laissez-nous réconcilier avec Dieu ».
Equipe Evangile@Peinture - Père P-Y Pecqueux – Peinture Bernadette Lopez - Fribourg
Prière universelle 4e dimanche du carême
Le pardon est source de vie
Pour les prêtres, ministres du pardon et témoins de la vie à qui a été confié le ministère de la réconciliation,
qu’à travers eux nous manifestions notre confiance en Ton pardon, un pardon qui libère
Père de miséricorde, nous Te prions
Le pardon à l'audace de l'amour
Seigneur, fais retentir ton message d’amour dans le cœur des dictateurs et des bellicistes afin qu‘ils s’ouvrent à la discussion, à la négociation qu'ils renoncent à l'usage des armes pour que se développe la liberté pour tout homme ainsi que la paix dans le monde !
Père de miséricorde, nous Te prions
Le pardon permet la réconciliation
Pour les familles divisées,
Pour les victimes des refus de pardon,
Fais-leurs découvrir ta Miséricorde qui délivre de toutes les frayeurs et sauve de toutes les angoisses
Père de miséricorde, nous Te prions
Le pardon invente la joie
En ce temps de carême,
Que chacun invente les pas à faire pour rencontrer les autres,
Les attitudes justes, les gestes simples qui réconfortent et font passer de la tristesse à la joie...
Père de miséricorde, nous Te prions
Equipe Liturgique PU@Peinture - Eglise St Joseph - Serémange
Annonces des messes du 26 au 31 mars
Mardi 26 mars
20h00 Préparation au baptême à l’Accueil Saint Martin de Hayange
Jeudi 28 mars
9h00 Messe à Hayange suivie d’un temps d’adoration – Rémy WAGNER
10h00-11h30 Permanence à l’accueil Saint Martin à Hayange
17h00 Célébration à la maison de retraite « La Forêt »
17h00 Célébration à la maison de retraite « Le Prieuré de la Fensch »
14h00-16h00 Permanence au Presbytère de Marspich
Samedi 30 mars
9h00-11h00 Permanence à Serémange
9h00-11h30 Réunion Inter Equipes de Coordination Pastorale à Fontoy
18h00 Messe à Saint Nicolas en Forêt
18h00 Messe à Serémange
Dimanche 31 mars 4ème Dimanche de Carême
9h15 Messe à Neufchef –
10h30 Messe à Marspich – Marie STEY (anniversaire, 4 ans)
10h30 Messe à Hayange – Arturo GASPARI – Joseph CICCIA, Maria Rosa, Nicodemo, Maria-Giovanna, Maria-Carmela, Maria-Concetta et toutes les Ames du Purgatoire – Familles ALIA–MORESCO et GUILLAUME
Communauté de paroisses Saint Jean XXIII du Berceau du fer
Presbytère de Hayange : tél 03 82 85 55 54 ou 03 55 18 14 82
Porter enfin du fruit
On croirait cette page d’évangile de ce dimanche 24 mars 2019 sortie tout droit de notre actualité. Des centaines de personnes périssent chaque jour de manière dramatique dans des intempéries ou assassinées. Nos journaux sont remplis de ces actualités. Sont-ils donc coupables ?
La réponse de Jésus ne pointe pas tant sur la fatalité que sur l’état dans lequel on se trouve au moment de la mort. Jésus renvoie ceux qui viennent le questionner avec une autre question comme souvent... Morts ou vivants ? Sommes-nous réellement des vivants, ou bien sommes-nous déjà morts, coupés de la vie par le péché qui nous étreint ? C’est le moment de vérité. Le critère qui montre que nous ne sommes pas spirituellement morts, ce sont les fruits d’amour que nous portons. Il n’y a que l’amour qui nous mette en vie et qui transmette la vie.
Le péché, c’est tout ce qui porte atteinte à la vie et à l’amour. Personne n’est exempt de cela. Mais vouloir faire grandir l’amour dans notre vie, voilà ce qui est à notre portée à chaque instant et qui devrait constituer le vrai combat dans nos vies.
N'attendez pas à demain pour vivre l'essentiel. La mort peut venir nous cueillir à chaque instant. Cela ne doit pas nous faire peur mais au contraire donner de la valeur à chaque seconde que nous vivons. L’important c’est que nous soyons jusque-là des vivants ! Ne passons pas à côté de notre vie si précieuse et donnons à l’amour toute sa place. Chassons ce qui l’empêche de se déployer en nous, et offrons ainsi à ceux qui nous entourent ces fruits de vie qui libèrent l’envie d’aimer plus loin.
Le vigneron, c’est le Christ, sans cesse il nous invite à nous convertir. En ce début de printemps, prions le Christ de bêcher notre cœur, d’y mettre l’engrais de sa Parole pour porter enfin du fruit.
EquipeEvangile@Peinture M-D Minassian – Peinture Bernadette Lopez - Fribourg
Prière universelle 3e dimanche de carême
Le Seigneur a vu la misère de son peuple
Que l’appel du Pape François et des associations pour la sauvegarde de la planète, la protection de notre maison commune soit plus particulièrement reçue, durant le carême par tous les peuples et par les dirigeants des pays.
Ouvre nos cœurs à ses appel, Seigneur, rends-nous la joie d’être sauvés,
Nous t’en prions
Le Seigneur a entendu les cris des peuples en souffrance
Que les plaintes, les hurlements des êtres fragiles, sans défense dans toutes les sociétés, notamment ceux qui sont les victimes de l’économie destructrice des biens de la terre et des valeurs humaines
puissent être pris en compte dans les projets de développement durable de chaque pays.
Dieu de nos Pères, nous t’en prions
Le Seigneur connait toutes les souffrances
Accueille, Seigneur, celles et ceux qui, ces dernières semaines, ont été victimes d’accidents, d’attentats aveugles, de catastrophes naturelles, inondations, cyclones...
Qu’en ce temps de carême, nous soyons plus attentifs à ces détresses et que nous posions des actes concrets de présence à ceux qui souffrent…
Ensemble, nous te prions
« Ne coupons pas le figuier cette année »
Le vigneron, c’est le Christ, sans cesse il nous invite à nous convertir
Qu’en ce temps de carême, il nous donne une chance de cesser d ’avoir le cœur sec et l’écorce rêche.
En ce début de printemps, Prions le Christ de bêcher notre cœur, d’y mettre l’engrais de sa Parole pour porter enfin du fruit.
Dieu d’Abraham, Dieu d’Issac, Dieu de Jacob, nous vous en prions
Equipe PU@Jardiniresdedieu – Dessin Guy Tribout – Serémange-Erzange - France
Hayange : célébration de la fête de Saint Joseph
A l’occasion des 150 ans de l’église Saint Joseph de Serémange-Erzange (1869-2019), une vingtaine de personnes, venue de la vallée de la fensch à l’invitation de l’équipe liturgique, se sont rassemblée autour de l’autel de St Joseph, mardi 19 mars, fête de saint Joseph, à 17h00 pour prier le chapelet.
Les cinq dizaines du chapelet ont été récité à partir des trois mystères : joyeux, douloureux et lumineux :
- L’annonciation à Joseph (Mt 1.20)
- Joseph veut répudier Marie dans le secret (Mt 1.19)
- La naissance et l’attribution du nom de Jésus (Mt 1.22-25)
- La fuite en Egypte (Mt 2.13-15)
- Saint Joseph, Protecteur des familles (Paul VI 19.03.1971)
Chaque dizaine commencée par une médiation était suivie de dix « Je vous salue Joseph ». Le chapelet s’est terminé par « La prière à saint Joseph » et par deux chants : « A Toi St Joseph » et « Ô toi Notre-Dame, couronnée d’étoiles ».
A l’issu du chapelet vers 18h00, chaque personne s’est vu remettre « le tryptique de St Joseph de Cotignac » pour continuer la prière en famille.
Neuvaine à St Joseph - 9e jour
Neuvaine à St Joseph – 9e jour– 18 mars 2019
Saint Joseph, père de la Nouvelle Evangélisation
Lecture - Luc 2, 1-20
Méditation
Le Pape Benoît XVI nous apprend que « l’Église ne peut croître et prospérer, si elle ignore que ses racines cachées plongent dans l’atmosphère de Nazareth. Car travailler avec Jésus travailleur, s’immerger dans “Nazareth”, devient le point de départ d’une nouvelle conception de l’Église pauvre et humble, d’une Église famille, d’une Église nazaréenne.
Nazareth recèle un message permanent pour l’Église. Ce n’est ni dans le Temple, ni même sur la montagne sainte que commence la Nouvelle Alliance, mais dans la masure de la Vierge, dans la maison de l’ouvrier, en un lieu oublié de la “Galilée des païens”, dont personne n’attendait quelque chose de bon.
C’est toujours en revenant à ce point de départ que l’Église doit se régénérer ».
La nouvelle évangélisation doit se faire dans une fidélité renouvelée aux événements fondateurs de la foi. Or les racines de l’Évangile s’enfoncent profondément dans la terre de Nazareth, où le Verbe de Dieu fait chair a voulu demeurer durant trente ans : un long temps d’enfouissement et de maturation, préparation indispensable aux trois années d’évangélisation proprement dite.
C’est à Nazareth que Jésus a vécu les Béatitudes au quotidien de la vie de la Sainte Famille, avant de les prêcher sur la Montagne.
Ce qui frappe dans les récits de l’enfance, c’est avant tout l’effacement de la Sainte Famille, à l’image de celui de Saint Joseph. Celui-ci commence par vouloir s’éloigner de sa fiancée : ayant reconnu l’œuvre de l’Esprit Saint dans le fait qu’elle fût enceinte, il ne voulut pas s’immiscer dans le déploiement du dessein de la Providence.
Cet « homme juste » (Mt 1, 19) obéit inconditionnellement à Dieu lorsque Celui-ci lui demandera de prendre chez lui son Épouse et d’être le gardien du Mystère qui s’accomplit en elle. Joseph se voit ainsi confier la charge de protéger l’honneur de la Vierge et d’insérer son Enfant divin dans la lignée de David, de laquelle devait naître le Messie.
Contrairement à la mission des Apôtres qui annoncèrent le Christ au monde, le ministère de Saint Joseph était de le cacher jusqu’au jour de sa manifestation définitive, nous rappelle le théologien Bossuet.
Frappons donc à la porte de Nazareth où Jésus a voulu se préparer durant trente longues années à sa mission évangélisatrice ; et demandons à Marie et Joseph de nous introduire dans l’intimité de Celui que nous avons à annoncer, de sorte que ce soit son Esprit qui nous anime lorsque nous partagerons notre joie de Lui appartenir.
Prière de consécration
Le premier protagoniste de la Mission de l’Eglise est l’Esprit-Saint. Saint Joseph, en prenant Marie chez toi, tu as devancé saint Jean et toute l’Eglise à sa suite.
Je te consacre aujourd’hui la part missionnaire de ma vie chrétienne. La Nouvelle évangélisation ne se fera pas sans une nouvelle effusion de l’Esprit Saint, qui advient par le Cœur Immaculé de Marie. En me mettant à ton école, saint Joseph, je sais que tu m’apprendras à me livrer à l’Esprit en devenant serviteur de Marie.
Introduis-moi dans l’intimité de la maison de Nazareth et prête-moi tes yeux pour que je puisse regarder vivre Marie, ton épouse, la contempler et l’imiter.
Prends-moi par la main et guide-moi dans l’adoration de Jésus en Marie, premier tabernacle de l’histoire, qui irradie quasi sa lumière à travers ses yeux et sa voix.
Je prends un instant pour méditer toutes ces choses dans mon cœur (cf Luc 2,19)
Je crois en Dieu – Je vous salue Marie – Notre Père
Saint Joseph, priez pour nous
voir vidéo : https://youtu.be/MoqT-CgRMTc
Annonces des messes du 19 au 24 mars
Mardi 19 mars « Fête de Saint Joseph »
17h00 Prière du « Chapelet de Saint Joseph » à l’église de Serémange
Jeudi 21 mars
9h00 Messe à Hayange suivie d’un temps d’adoration
10h00-11h30 Permanence à l’accueil Saint Martin à Hayange
17h00 Célébration à la maison de retraite « Le Tournebride »
14h00-16h00 Permanence au Presbytère de Marspich
Samedi 23 mars
9h00-11h00 Permanence à Serémange
18h00 Messe à Ranguevaux
18h00 Messe à Serémange
Dimanche 24 mars 3ème Dimanche de Carême
9h15 Messe au Konacker
10h30 Messe à Bosment
10h30 Messe à Hayange – Lindsay DOS SANTOS (9 mois)
Communauté de paroisses Saint Jean XXIII du Berceau du fer
Presbytère de Hayange : tél 03 82 85 55 54 ou 03 55 18 14 82
Pleine Lumière
Il y a des moments forts dans une vie. Pour les trois disciples, accompagner Jésus qui va prier, cela en fait certainement partie. Mais ce qu’ils ont vu et entendu dépasse leur entendement. Pierre d’ailleurs essaie de reprendre le contrôle, de mettre la main sur ce moment inouï. Mais les mots s’évaporent tant ils sont loin de ce qui est en train de se vivre. Ils n’ont pas le poids de ce réel de lumière. Ils ne veulent que le retenir sans y entrer vraiment. Cependant, la prière de Jésus va leur faire vivre l’expérience de toute prière, c’est-à-dire l’entrée dans une perspective nouvelle et dans une parole.
La prière introduit dans une histoire, dans l’histoire sainte, dans l’Alliance. Par la prière, on rejoint l’expérience de tant d’autres en marche vers le Royaume depuis les Patriarches. Le Je est rejoint par un Nous qui le précède. Le peuple de Dieu nous prend dans sa clameur, nous porte dans l’espérance des promesses de Dieu.
Et puis la prière c’est l’expérience d’une parole. Pas une parole extérieure, mais une parole qui nous fait entrer en elle, qui nous prend “sous son ombre” et nous invite à l’écoute du Christ. Une parole paternelle qui fait silence et prépare le chemin du Verbe. Une parole qui dissipe toute autre parole et concentre toute l’attention sur Jésus. Parce que Jésus est le Verbe, la Parole du Père pour les hommes. Ce qu’il à dire, il a commencé à le faire. Les mots qu’il prononce sont pleins de tous ses gestes qui accompagnent ses rencontres. Ses mots sont à voir. Ils coïncident. Mais la parole qui vient surpasse toute parole. Elle va se dire à Jérusalem. C’est tellement fort qu’il faut préparer les plus proches. Leur donner à comprendre à posteriori... c’est l’histoire qui est en chemin. Une histoire qui remonte à loin et qui va embrasser loin. Jusqu’à aujourd’hui et demain. Ce sont tous les temps qui ont été traversés par cette pleine lumière. Le Verbe n’est contenu par rien. C’est lui qui nous contient, nous prend avec lui pour nous offrir sa lumière sur toutes choses. C’est lui qui nous fait participer à sa vie et à sa sagesse, à son éternelle présence à la vie des hommes.
Puissions donc en ce carême entrer dans l’expérience de la prière, de la lumière du Christ sur la vie et les choses. La liturgie de la Parole ne nous conduit pas ailleurs que dans cette proximité du Christ s’offrant aujourd’hui comme hier, transfigurée pour la vie du monde.
Equipe Evangile@Peinture- M.-D. Minassian-Peinture Bernadette Lopez - Fribourg