Prière Universelle du 18ème Dimanche du Temps Ordinaire
Seigneur, fais pleuvoir ta manne à satiété sur celles et ceux qui, à cause de la guerre, de la sécheresse, de la misère, manquent de tout, même du pain quotidien…
Nous te rendons grâce pour les hommes et les femmes qui partagent le leur…
Seigneur, nous t’en prions
Pour les scouts du monde entier réunis au Japon, là même où une bombe atomique a semé la mort et la désolation…
Que leur message de paix et d’amitié entre les peuples du monde entier soit entendu et mis en pratique par tous…
Seigneur, nous t’en prions
Pour tous ces migrants qui, fuyant la guerre et la faim, viennent s’échouer aux frontières de nos pays…
Que les responsables européens ne les laissent pas s’abandonner à la violence et au désespoir et s’engagent à trouver, rapidement, des solutions durables pour les aider à croire, de nouveau, à la solidarité entre les hommes…
Seigneur, nous t’en prions
Pour ceux, et celles, qui sont éloignés de la table eucharistique par manque de prêtres, ou par choix personnel…
Pour toutes les communautés rassemblées, aujourd’hui, pour partager ton Pain de Vie et ta Parole d’Espérance…
Seigneur, nous t’en prions
Micheline et Guy Tribout
Pélerinage à Notre Dame des Neiges
Samedi 1er août
9h00-11h00 Permanence au presbytère de Serémange
16h00 Mariage de Jérémy LAY et Magalie DRAY à Hayange Saint Martin
19h00 Baptêmes à Serémange – Mila JANASIEWICZ
Dimanche 2 août
9h15 Départ église de Neufchef à travers les bois environ 3 km goudronné
10h30 Pèlerinage et Messe en Plein Air à Notre Dame des Neiges
possibilité de se rendre directement sur place ou d’utiliser le parking du haut du musée de la mine
11h30 Baptêmes à Sainte Neige – Ethan EUSBURG – Elina COSTALUNGA - Mila JANSIEWICZ
Cinqs pains d'orge et deux poissons
Pendant cinq dimanches d’été, ce sont les lectures de l’évangile de saint Jean qui nous sont proposées et qui commence par le récit sur la «multiplication des pains», méditation sur le partage et sur l’Eucharistie, où le Christ nourrit une foule de gens affamés et nous invite à réfléchir sur la faim dans le monde:«Où nous procurerons-nous le pain nécessaire pour nourrir tous ces gens?»
Au temps de Jésus, la nourriture n’était pas très abondante et la famine menaçait continuellement. Rien n’a beaucoup changé dans notre monde d’aujourd’hui. Les famines se multiplient dans des douzaines de pays, même si nous cultivons assez de nourriture dans le monde pour permettre à chaque homme, femme et enfant de recevoir les 3000 calories nécessaires à la survie. Les gens meurent de faim, non pas parce qu’il n’y a pas assez de nourriture, mais à cause d’une distribution injuste : 2% de la population possèdent actuellement 50% des revenus et 1/4 de l’humanité accapare 3/4 des ressources de notre planète.
Les pays riches sont plus intéressés à vendre des armes aux pays pauvres, que de les aider à sortir de leur sous-développement et de leur misère.
Imaginez ce que pourrait être notre monde si les montagnes d’argent dépensées en armements, en fraude, en jeux de hasard, en alcool, en drogue, étaient mises au profit de ceux et celles qui sont dans le besoin, si l’on utilisait cet argent pour l’irrigation des déserts, l’éducation, la recherche médicale, l’édification de digues, la lutte contre la faim dans le monde.
Devant les énormes problèmes de manque de nourriture, nous nous sentons totalement impuissants. Le Christ demande à Philippe: «Où pouvons-nous acheter du pain pour que tous ces gens puissent manger?» Et Philippe de répondre : «Le salaire de huit mois de travail ne suffirait pas pour que chacun ait un peu à manger.» Ce qui veut dire : «nous ne pouvons rien faire. Le problème est trop grand pour nos moyens très restreints». C’est alors que l’un des disciples ajoute : «Il y a ici un jeune garçon qui a cinq petits pains d’orge et deux poissons. Mais cela n’est rien pour combler les besoins d’une telle foule».
Cinq pains d’orge et deux poissons ! La multiplication des pains par le Christ a été possible grâce à la générosité de ce jeune garçon: c’est sans doute grâce à cette générosité que d’autres personnes présentes décidèrent eux aussi de partager le peu qu’ils avaient… Et il y en eut pour tout le monde, il y eut même des restes. Souvent nous faisons cette même expérience lors d’un pique-nique. Chacun partage ce qu’il a apporté et à la fin il y a des restes.
Jésus nous dit aujourd’hui : «Apportez vos cinq petit pains d’orge et vos deux poissons, et voyez ce qu’on peut en faire».
Lorsqu’il y a des besoins, nous ne pouvons résoudre le problème seuls. Mais avec Dieu et avec les autres, nous pouvons améliorer la situation. Le Seigneur a besoin de notre contribution, si petite soit-elle. Dieu ne fait pas de miracle à partir de rien, il les fait à partir des cinq petits pains d’orge et des deux poissons.
Dieu a besoin de S. Vincent de Paul, de Mère Térésa, des Alcooliques Anonymes, de la Croix Rouge, des Resto du Cœur, de l’Armée du Salut, du Secours Catholique, du Secours Populaire, d’Emmaüs... de ceux et celles qui visitent les malades, de ceux et celles qui donnent un peu d’argent pour aider les victimes de catastrophes naturelles et de guerres de toutes sortes.
Essayons, comme nous le demande Paul dans la 2e lecture, de «mener une vie digne de l’appel que nous avons reçu.» Soyons justes, partageons notre temps, nos talents, notre argent. "Je sais que grâce à toi, Seigneur, le résultat de mes actions dépassera mes espérances..."
Extrait de la méditation sur l'évangile dominical par le Père Yvon-Michel Allard, Granby, QC, Canada - Image Peinture et Evangile – Berna - Fribourg
Prière Universelle du 17ème Dimanche du Temps Ordinaire
« Donnez à tous ces gens, pour qu’ils mangent… » dit Jésus…
A cause des bouleversements climatiques, de conflits interminables, la famine sévit encore dans le monde…
Inspire aux nations riches, plus de justice, plus de solidarité, d’écoute et de partage envers tous les peuples qui souffrent de ce fléau…
Seigneur, nous t’en prions
« Ramassez tous les morceaux, que rien ne se perde… »
Pour qu’au sein de notre société de consommation qui pousse à tous les excès, au gaspillage, nous sachions contrôler nos besoins et, partager avec les moins favorisés…
Seigneur, nous t’en prions
La faim spirituelle demeure vive dans notre monde matérialiste…
Ecoute spécialement les jeunes et tous ceux qui cherchent un avenir…
Qu’ils ne se laissent pas entrainer par tous les faux prophètes à l’affut dans nos cités…
Seigneur, nous t’en prions
Pour ceux qui, par leur labeur, comble chaque jour notre faim, et qui connaissent des difficultés économiques sans précédents…
Que toutes les parties concernées par cette crise trouvent, par la concertation, le dialogue, les solutions qui permettront au monde paysan de retrouver sa sérénité et de vivre dignement de son travail…
Seigneur, nous t’en prions
Micheline et Guy Tribout
Annonces des messes du 20 au 26 juillet
Lundi 20 juillet
9h00-11h00 Permanence à l’accueil Saint Martin à Hayange
Mardi 21 juillet
15h00 Obsèques de M. Claude PINNA à Hayange Saint Martin
17h00 Prière du Chapelet à Hayange Saint Martin
20h00 Préparation au baptême à Hayange « Accueil Saint Martin »
Mercredi 22 juillet
9h00-11h00 Permanence à l’accueil Saint Martin à Hayange
Jeudi 23 juillet
9h00 Messe à Hayange suivie d’un temps d’adoration
10h00-11h30 Permanence à l’accueil Saint Martin à Hayange
Vendredi 24 juillet
Samedi 25 juillet
9h00-11h00 Permanence au presbytère de Serémange
17h00 Mariage de Luc ROHARD et Laetitia GWIZSZ à Marspich
18h00 Messe à Serémange – Une intention particulière
Dimanche 26 juillet
9h15 Messe à Marspich – Gabriel SAMB et Agnès GASIK –
10h30 Messe à Saint Martin – Jean TURNANI (anniversaire, 9 ans) – Julia NOVELLI (anniversaire, 1 an)
11h30 Baptêmes à Hayange Saint Martin – Noé FRIEDMANN – Hugo FRIEDMANN – Mia PICCHIA - Chloé MATSCHKÉ
Communauté de paroisses Saint Jean XXIII du Berceau du Fer
Paroisses de Hayange et Serémange :
tel. 03 82 85 55 54 ou 03 55 18 14 82
Permanences
à Hayange le : Lundi et Mercredi de 9h à 11h et le Jeudi de 10h à 11h30
à Serémange le : Samedi de 9h à 11h
Le temps d'une traversée en barque
Ce passage de l’Évangile de Marc nous dit que ce temps de vacances est bienvenu pour faire le point. Si Dimanche dernier, Jésus envoyait ces Apôtres en mission, aujourd’hui il les invite à l’écart dans un endroit désert.
Pas si désert que cela ! Une foule de disciples de Jésus les avait précédés !
Suis-je du côté des apôtres ou bien disciple du côté des foules ! Où se situe ma responsabilité de chrétien ? Après une année 2014-2015 d’engagement, de participation, d’écoute ou d’enseignement en équipe, quelles ont été mes joies et mes déceptions ? Qu’en est-il de ma foi ? Réaliserons-nous que la profondeur de notre vie est la clé du témoignage de l’Évangile.
C’est bien dans un endroit désert que Jésus voulait entraîner ses apôtres, afin qu’ils puissent se ressourcer à son enseignement et approfondir les liens avec son Père. Malheureusement cette intimité n’aura duré que le temps d’une traversée en barque !
Jésus, parce qu’il voit la foule comme « des brebis sans berger ! », aussitôt les enseigne longuement. Il peut le faire ! C’est sa grande proximité avec son Père, la vérité de son Père, l’amour de ce Père des Cieux qui transparait à travers sa propre vie. Nous pouvons nous poser cette question : pourquoi Jésus-Christ aujourd’hui parfois ne « fait pas recette » ? C’est peut-être bien parce que mon témoignage n’est pas assez profond, pas assez vrai, pas assez vivant ! Si ma propre vie n’est pas émaillée de rencontres directes avec le Christ, si je ne suis pas habité par le Christ, si je ne réside pas quelque part dans la maison du Père, mon témoignage n’a rien pour exalter les foules !
Apôtres ou disciples engagés dans la vie consacrée comme prêtre, religieux ou laïcs, l’amour de Dieu le Père est notre bien commun. Jésus n’a cessé de nous le rappeler. Les apôtres l’ont propagé, et chacun de nous est invité à le relayer. Cet amour véritable du vrai berger est le seul fédérateur d’enthousiasme, de joie, de paix !
Nous avons un peu de mal à l’imaginer, mais L’Esprit de Dieu prend le relais et se charge de répandre cette bonne nouvelle auprès des croyants que nous sommes mais aussi auprès des non-croyants.
Ce temps de vacances, de repos et de changement d’activité, nous invite à prendre ce recul, nous invite à nous mettre à son écoute, à effectuer cette rencontre cœur à cœur avec le Christ.
Ce n ‘est que le temps d’une « traversée en barque », mais si je nous nous reposons en Lui : Lui, il agit ! Il saura nous accompagner à la rencontre de tous ces frères immigrés d’autres continents, les naufragées de la barque de l'autre rive qui fuient la pauvreté, la barbarie, la peur de bergers fanatiques et qui ont soif d’une vie de liberté, soif d’une vie de fraternité, soif d’amour, soif de Lui...
Extrait de la méditation de Yves Tricou diacre du Diocèse de Lyon – image Evangile et Peinture Berna – photo Paris Match
Prière Universelle 16ème Dimanche du Temps Ordinaire
« Je leur donnerai des pasteurs qui les conduiront… »
Pour les 15000 scouts réunis à Strasbourg…
Pour l’Eglise…
Pour tous ceux qui ont la mission de la rassembler, de la conduire, et de l’instruire…
Qu’ils ne se découragent pas face aux difficultés qu’ils rencontrent et sachent toujours revenir à la source de ton Evangile…
Seigneur, nous t’en prions
« Il exercera dans le pays le droit et la justice… »
Aux peuples déchirés par des luttes fratricides, une violence continue, le rejet de l’autre…
Pour ceux qui subissent les effets d’une crise économique qui parait sans issue…
Eveille parmi leurs dirigeants, le désir de construire un monde plus juste, soucieux du bien-être et du respect des uns et des autres…
Seigneur, nous t’en prions
" Ils étaient comme des brebis sans berger…"
Pour ceux qui sont attirés par l’argent trop facile… Les sectes… Les gourous… Le fanatisme religieux… Tous ceux qui ne savent plus discerner le vrai du faux…
Donne-leur des vrais bergers qui les éclairent et les accompagnent sur le bon chemin…
Seigneur, nous t’en prions
« Venez à l’écart, dans un endroit désert et reposez-vous… »
Pour ceux qui goûtent le repos des vacances et ceux qui, trop pauvres ou malades, ne pourront en bénéficier…
Que cette période privilégiée, soit une occasion de réfléchir, de prier, de faire le point, afin de pouvoir repartir, le regard plus clair et sur des bases plus solides…
Seigneur, nous t’en prions
Micheline et Guy Tribout
Annonces des messes du 18 et 19 juillet 2015
Samedi 18 juillet
9h00-11h00 Permanence au presbytère de Serémange
17h00 Mariage de Jeannick COMBRALIER et Delphine PIETRANGELI à Neufchef
18h00 Messe à Ranguevaux
Dimanche 19 juillet
9h15 Messe à Bosment
9h15 Assemblée de prières à Neufchef
10h30 Messe à Saint Martin
Communauté de paroisses Saint Jean XXIII du Berceau du Fer
Paroisses de Hayange et Serémange :
tel. 03 82 85 55 54 ou 03 55 18 14 82
Permanences :
à Hayange le : Lundi de 9h à 11h et le Jeudi de 10h à 11h30
à Serémange le : Samedi de 9h à 11h
Jésus se mit à les envoyer deux par deux... pour faire équipe...
Dès le début de sa vie publique, le Seigneur choisit des collaborateurs. Dieu a confiance en nous. Il nous invite à travailler avec lui. Dans l’Ancien et le Nouveau Testaments, les gens que Dieu appelle sont des gens ordinaires comme vous et moi : Amos était fermier, Pierre, un pêcheur de métier, Matthieu, un comptable à la solde des Romains, Paul, un tisseur de tentes.
Le Christ les invite d’abord à rester avec lui pendant quelque temps, afin de recevoir une formation de base. Au début des évangiles, nous voyons les apôtres accompagner Jésus dans ses pérégrinations. Ils le regardent agir et reçoivent de lui un enseignement important, une nouvelle façon de vivre. Jésus les prépare à la mission.
C’est le modèle que nous, les chrétiens, avons retenu à travers les siècles. Le jour du Seigneur, nous nous rassemblons autour de Jésus, pour écouter sa parole et partager sa vie. Ensuite, nous nous dispersons dans notre milieu de vie. À la fin de la célébration, nous sommes envoyés dans notre famille, dans notre milieu de travail... pour plonger dans cette communauté spirituelle en construction.
En lisant l’évangile, nous constatons que Jésus ne fait pas de recommandations sur le contenu doctrinal de la «mission». Il ne dit pas à ses apôtres «ce qu’ils doivent prêcher». Mais il entre dans les détails pour leur dire «ce qu’ils doivent être» : des voyageurs qui se déplacent avec peu de choses, qui profitent de l’hospitalité des gens, qui sont des promoteurs de paix et de réconciliation, qui accompagnent les malades etc.
Pour Jésus, le témoignage de vie est plus important que celui de la parole. Il fait confiance à ses disciples, il croit en l’être humain, il a foi en nous, alors que nous doutons si souvent de lui. Il a tellement confiance en nous qu’il nous laisse libres d’agir comme bon nous semble dans l’œuvre d’évangélisation.
Le Christ nous dit qu’à cause de chacun de nous, le monde peut devenir meilleur : «ils chassaient beaucoup de démons, faisaient des onctions d’huile à de nombreux malades, et les guérissaient». Quels sont les démons de notre temps? Comment pouvons-nous améliorer le monde autour de nous?
Le vocabulaire utilisé par le Christ dans l’évangile est celui de son temps. Mais nous comprenons facilement que les disciples sont envoyés pour faire ce que Jésus lui-même a fait. Le contenu de leur mission actualisée peut se décliner dans ces axes principaux :
Annoncer le Royaume, ce qui demande une conversion, une façon différente de vivre sa vie. Nous Convertir veut dire changer notre mentalité trop égoïste. Il faut savoir accepter nos responsabilités et essayer d’améliorer notre monde, en évitant d’ajouter au mal et en aidant ceux et celles dans le besoin.
Combattre le mal et chasser les démons qui nous empêchent de vivre librement.
Chasser les démons aujourd’hui signifie aider les personnes seules et sans défense à se libérer de la solitude, de la peur, de l’injustice, de la crainte, de la maladie. Ça veut dire aussi nous libérer de la nicotine, de l’abus d’alcool, du matérialisme qui tue la vie de famille, de l’addiction aux jeux de hasard... ça veut dire lutter contre tous nos esclavages!
Agir en faveur de ceux et de celles qui souffrent et sont démunis, afin d’améliorer leur qualité de vie.
Guérir les malades. Il y a bien des façons de le faire : savoir aimer, accompagner, encourager, aider, pardonner. Je pense aux bénévoles dans les hôpitaux, aux gens qui visitent les malades, à ceux et celles qui apportent la communion dans les résidences de personnes âgées, qui distribuent les repas de la popote roulante, etc.
Jésus envoie ses disciples deux par deux pour car la mission est une aventure communautaire. Notre foi est enrichie par la foi des autres, par la foi de nos parents, de nos grands parents, de nos amis, et notre foi contribue à la foi des autres. La première règle de l’apostolat, c’est de « faire équipe » : faire équipe en la vie fraternelle à travers aujourd’hui par exemple les Equipes d’Animations Pastorales, les équipes liturgiques, les équipes de funérailles, de baptême, de mariage, les équipes de pastorales de la santé, les équipes de l’ Ecole Diocésaine d’Animateurs de Communauté, les associations caritatives, les équipes de catéchismes, les Conseils de Fabriques et autres...
Jésus nous envoie aujourd’hui comme il envoie ses apôtres. Il nous invite à évangéliser, à annoncer la Bonne Nouvelle, à combattre le mal et à venir en aide à ceux et celles qui souffrent.
L’évangélisation proclame qu’ensembles en lien avec les fruits du Concile Vatican II, nous pouvons vaincre la violence, l’injustice, la solitude et le découragement. Le Christ nous envoie. Il a besoin de nous. Il nous fait confiance, dans une Eglise qui se découvre Peuple de Dieu, dans une Eglise formée d’une diversité de membres dont tous ont même dignité dans une variété de missions. Nous devons être en Eglise, le signe et le moyen de la rencontre de Dieu avec l’humanité dans un monde qui a besoin d’amour et de tendresse. « Le Christ se mit à les envoyer en mission etc. ».
Extrait RogerFrançois de la méditation du Père Yvon-Michel Allard, s.v.d., Granby, QC, Canada.Cursillos